DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ – par Dan Albertini
- Un enfant de António de Oliveira Salazar foule le sol d’Haïti en contre-expertise
- Adieu Lisbonne, vieille cité du Portugal !
- Entre (), l’Amérique au sol, le code de loi appliquée aussi puisque Biden se permet de juger la Cour suprême par avis politique, ce que j’ai soulevé dans les simulations de l’Observatoire du dies, Alvin Bragg (DA) ne peut pas enfermer Donald Trump sans aboutir à de conséquences graves en retour du boomerang. Biden vient d’offrir ainsi à Donald qui jase de plus en plus, plus du quart du second tiers des ‘anges’ en ballotte dans les émotions terrestres du ciel en feu de paille dans le péché. Attention, je ne suis pas en religo, mais au péché des privilèges de Hunter avéré C. Vous y mettrez ‘culprit’, citoyen, crédule, pour C, au gré, fermons-les ().
Guterres ‘enfant de Salazar’, fait partie du mal qui sévit en Haïti, non pas de la solution du problème créé par l’ONU même. Comme partout où cet éléphant vorace met le pied là où il ne sort plus tant le problème devient endémique. Le Darfour en exemple. Je corrige, sauf en Allemagne partagée d’après guerre. Il n’y a pas de ‘NOUS’ qui tienne, c’est l’échec nourrit à grand coût dans la maison de verre à New York, le ver est dans la charte même : ‘grands États, petits États’, mais on parle d’AG comme si certains États étaient comme le Vatican en État observateur. Avec droit de vote, mais soumis à la raison du plus fort. Ou, c’est le conseil de sécurité qui dicte ! Guterres prépare en fait sa retraite, il n’ira pas sur la lune avec le CV.
Guterres a proposé au journaliste haïtien un pacte : silence contre mensonge, comme une information privilégiée. Pourquoi, pour l’acceptation de domination par procuration qui à ce jour, a placé Dr Ariel Henry qui ulcère la Constitution, au-dessus de tout et de tous. Où sont allés dormir nos braves ? Où sont la Chine, la Russie au Conseil de sécurité pour dire NON définitivement à ce Yankee envahisseur de Biden père de Hunter, caché en mirage d’une image canadienne, grande amitié qui absorbe: taxes, sur l’expéditeur haïtien qui soutient famille, ami, là-bas, per diem de délégations inutiles en visite pluraliste d’affairiste politico ?
Si Guterres a visité la République onusienne d’Haïti pour la 1re fois, pourquoi ?
Je m’édifie par l’indice d’un Sarkozy soudain débarqué à Port-au-Prince, en fév. 2010 après le séisme du 12 janvier. Le même ver accusé et reconnu coupable chez lui au point de devoir faire appel des jugements énoncés, et plus encore, il sera ce ver du mal en Libye, en 2011.
Depuis, prise en faction ennemie, la Libye se fait encore juger, non pas la France.
Autre indice qui m’édifie sur Haïti, Barack Obama n’a jamais été lire ni émanciper l’histoire, honnêtement c’eut été de l’ébarbure avec sa diplomatie projet anti hétérosexuel. Il me faut l’élever sur la route du cinéma afin de mimer la fin d’un film. Il y a le générique. Guterres mis à l’indice Sarkozy est la tentative affirmée de rabaisser le standard de l’État souverain, tel les leçons de Salazar en Afrique colonisée lusophone alors que le Portugal giclait d’infortune au sol. Si Guterres fredonne l’amitié inconnue du Catalan aux urnes, de quelle amitié va-t-il quand nous ne le connaissons pas. Quand le Darfour est ce problème onusien, quand le Mali lutte pour ses droits souverains, pour chasser l’esprit colonialiste de la France outremer.
Il y aurait une raison partant de cathédrales de Burgos quand le descendant du colonialisme encore présent au pays indépendant après avoir reçu des indemnités de la rançon payée.
Il faut consulter les archives postcoloniales de Brun à Vorbe en visitant Baussan Séjourné Deschamps Chauvet, Forbin, Blondel, etc. Comparons les acquis aux avantages, le rapport à l’apport à la société. Additionnez ces milliards de PetroCaribe disparus. Alors, de Oliveira Guterres, confondu a-t-il songé à présenter ce dossier aux criminologues pour savoir ce qui a causé la criminalité secondaire, inhérente aux injustices que subit le peuple cité qui doit payer cette dette un jour, après : rapts, détournements, corrompus, per diem dépassant les salaires occidentaux, contrat sans notion. Guterres propose tel Ki moon par Mulet, Bellerive, le cocktail de gangs de rues. Lamothe accusé des É.-U., a-t-il été saisi de ce fait par le biais de cet organe onusien expert administratif puisqu’on parle de force de forme étrangère?
Voilà en extrait, Guterres au menu de Bill camouflé, et ma réponse:
G «Mesdames et Messieurs de la presse, ma visite à Haïti est une visite de solidarité. Et une visite que je fais en toute humilité comme Secrétaire général des Nations Unies face à la souffrance du peuple haïtien».
Q. Définissez le peuple en souffrance, pour moi !
G «Ma solidarité va au peuple haïtien, qui fait face à un terrible cycle de crises sécuritaires, politiques et humanitaires qui s’exacerbent mutuellement»
Q. Rien de nouveau depuis Clifford Brandt condamné, mais où sont les autres par le fait de la MINUJUSTH, le savez-vous vous-même?
G «La violence brutale des gangs touche chaque aspect de la vie publique et privée du pays.»
Q. Depuis Mulet-Bellerive en visite au Palais des Nations à Genève, je l’ai soulevé à leur attention. Ils disaient le problème réduit à un coin de Martissant. L’ONU y a échoué.
G. «Port-au-Prince est encerclé par des gangs armés qui bloquent les principales routes menant aux départements du nord et du sud, contrôlent l’accès à l’eau et à la nourriture, aux soins de santé… »
Q. D’une part, à l’époque de l’action de Small Arm Survey, c’étaient les armes dites créoles, maintenant ce sont les armes d’assaut de guerre qui viennent des É.-U., pays de la NRA. D’autre part, savez-vous aussi que la croissance de la violence est née de la déception de la société, de la disparition impunie des fonds de PetroCaribe, avec des contrats de voleurs ?
G «Je condamne avec la plus grande fermeté les violences sexuelles généralisées utilisées par les gangs armés comme arme pour installer la peur»
Q. Vous feintez d’ignorer les leçons de soldats de la MINUSTAH sur les mineurs, en Haïti?
G «La gravité de la situation exige une attention urgente et soutenue, qui place les victimes et les populations civiles au centre de nos préoccupations et de nos priorités»
R. Le Darfour vous dément, les victimes de Salazar en Afrique aussi. Les victimes du choléra en Haïti en sus, et là, vous ignorez encore ce que représente l’Haïtien qui accepte de payer encore, là Ariel Henry est un problème. Votre «nos préoccupations» est un slogan nul.
G «Si nous n’agissons pas maintenant, l’instabilité et la violence auront un impact durable sur des générations d’Haïtiens.»
R. Vous ignorez les causes, et sélectif, vous citez à la pièce. Si vous êtes donc malhonnête à mes yeux puisque votre Europe a vécu (2) guerres, vous êtes mieux que la guerre de 100 ans.
Terminons ici en accéléré.
G «A mon avis, ce n’est pas aux étrangers de résoudre les problèmes haïtiens. Ce sont les Haïtiens qui vont le faire»
R. N’est-ce pas le slogan depuis Sison-La Lime au Tweet qui a produit Ariel Henry. Il faut se dire: adieu Lisbonne, vieille cité du Portugal !.
Haïti-Observateur / ISSN: 1043-3783
Cet article est publié par l’hebdomadaire Haïti-Observateur, VOL. LIII, No. 24 New York du 6 juillet 2023 et se trouve en P. …5 à: 06 July 2023