DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIÉTÉ
- Migration anti radicalisation nécessaire… à Québec par Dan Albertini
Entre ().Israël pleure d’être surprotégé contre l’Iran par un accord; voulait-il la guerre ? N’ayant compris ce besoin vital, séculaire, de Washington, de se régénérer. De se re-oxigéner, à Téhéran. Notre considération est celle du Japon, de l’Allemagne, de l’après WW-II. La mémoire ancestrale des anciens Perses leur aurait rassuré l’existence de l’avenir, la mouvance de l’histoire. La bergerie n’a encore appris ce besoin de tempo à Jérusalem colonisée. Considérations d’un pasteur protestant radical américain : il déplore pour l’État hébreux d’avoir sciemment reconduit un spectre de Sodome et de Gomorrhe, alors qu’il appelle au retour d’une diaspora vers la Jérusalem spirituelle. La main influente des pouvoirs étant dans la consistance de la diaspora. La migration anti diaspora privilégiée de ceux de l’Ukraine va-t-elle céder la place à une régénération de la politique internationale post Netanyahu ? Car le monde s’enfermera dans un nouveau business at all. Fermons-les ().
L’anti-radicalisation que nous avions promis de revisiter à Montréal. Une théorie qui relève de la pure folie d’une politique ignare à Québec. Harper prolonge cette menace de censure des droits fondamentaux, en pleine campagne électorale. Si l’hirondelle ne fait pas le printemps, une jeune Arabe de parti n’en fera un printemps arabe non plus. Politique, pas plus que histoire, ne saura nous en rapporter des faits à prévoir, si ce ne sont les pleurs d’une mère ou d’un père éploré par ce deuil. À moins de les suspecter sans se l’avouer, de camoufler un sourire derrière des larmes, ce qui ferait de nous des schizos. Nous croyons de préférence aux turbulences gratuites d’un maire élu, en dilettante, cela va sans dire. Sinon, Montréal, conséquence Charbonneau, attendrait ainsi sa propre révolution politique avec une saveur de printemps arabes. À force d’en importer la clientèle migratoire que l’on prépare pour le marché de l’angoisse, de la schizophrénie et de la frustration. En propre incohérence, Montréal s’appuie donc sur un pseudo politique anti-radicalisation, contre cette même clientèle en croissance. Résultat: un autre budget pour étouffer l’innovation. Sarcastique mais ironique et, ça donne un frisson quand nous avons notre scandale UBS à la Commission Charbonneau, sans pénalité. Sommes-nous si hypocrites dans ce confort politique alambiqué ? Ou, influence voisine malsaine qui tue des Noirs aux… ?
L’ère Trudeau nous manque à ce point, son savoir diplomatique qui n’avait peur de Cuba ni soumis à l’American blind International Politic de Kissinger. Tandis que nous avons aujourd’hui ce grand problème urbain qu’est la kleptomanie et sa dépendance politique. Les Enfants d’après Drapeau veulent pourtant l’établissement de la ville intelligente où vivre ensemble. Ironique oui, Québec a élu son PM par défaut puisqu’il n’y avait d’autres candidatures valables sur le plateau ni à ses hémisphères politiques. La province se retrouve aussi en plein dilettantisme avec un Péladeau anti_gouverneur.qc comme opposition. Jouissait-il du genre de fréquentation ?
On prétend donc éviter Bagdad post Saddam, Kaboul post Omar, en attirant Khartoum post Muscharaf, faute d’intelligence, en poussant contrairement au discours adopté, vers la radicalisation par induction et par suggestion, alors que le vrai problème d’instabilité serait le PQ qui milite pour une autre cause que celle du bien-être du citoyen canadien. Dieu sauve Athènes, mais pas ce Québec incrédule. Où ira donc le Québec si le gouvernement est dépassé ?
Va-t-on donc arrêter de se plaindre au Plateau, contre la radicalisation arabe quand le plan politique adopté par Québec sur l’anti radicalisation est un nouvel instrument contre l’aspiration d’indépendance récupérée par PKP.
C’est une politique qui ne manque de rappeler les campagnes d’intimidation politique des années antérieures comme celles qui ont connu tellement de dérapages contre les droits des Japonais, des Chinois, des Amérindiens…etc. L’automne arrive sans attendre et les familles du Québec sont déjà renvoyées aux calendres grecques dans une nouvelle situation d’austérité avec les récentes déclarations du président du Conseil du Trésor réclamant des économies anticipées en période d’austérité télécommandée. L’itinérance est en croissance, elle est occasionnelle, permanente, technique et maladive. Le per diem des élus est en croissance. Ironie du sort, pas de problème de croissance au pays. À la ville non plus. lovinsky2008@hotmail.com
Cet article est publié par l’hebdomadaire Haïti-Observateur, édition du 12 août 2015 VOL. XXXXV, No. 33 New York, et se trouve en P. 13 à : http://haiti-observateur.org/wp-content/uploads/2020/01/H-O-12-aout-2015.pdf